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    Parc Aventures Cap-Jaseux

    Parcours au Défi OSEntreprendre
    • Lauréat régional Réussite inc. 2024

    • Lauréat national Création d’entreprise 2003

    • Économie sociale
    • Saguenay–Lac-Saint-Jean

    Premier de classe

    13 000

    Nombre prévu de visiteurs à l’hiver 2024-2025 au Parc Aventures Cap Jaseux. Cela s’ajoutera à l’achalandage actuel de 28 000 visiteurs par année.

    Premier parcours d’hébertisme aérien au Québec. Première via ferrata homologuée au Canada. Premières sphères suspendues dans les arbres au monde. Il n’y a pas à dire : le Parc Aventures Cap Jaseux fait figure de précurseur dans le domaine du plein air et de l’écotourisme. Depuis plus de deux décennies, cette coopérative de solidarité met en valeur un territoire sauvage de 473 acres situé à Saint-Fulgence, sur la rive nord du fjord du Saguenay. Sa renommée s’étend jusqu’à l’international, comme en témoigne une part non négligeable de sa clientèle en provenance de l’Europe. 

    «Nous avons cultivé un esprit pionnier en tourisme d’aventure au fil des années », affirme Rébecca Tremblay, directrice générale de l’entreprise récréotouristique, un poste qu’elle occupe depuis dix ans. Véritable entrepreneure dans l’âme, elle est la cheville ouvrière des projets d’envergure qui transfigurent le parc bon an, mal an. «Notre équipe de direction prend la peine de consulter toutes les parties prenantes avant de prendre une décision, c’est systématique, explique-t-elle. Il s’agit sans l’ombre d’un doute d’une des clés de notre succès.»

    Le Parc Aventures Cap Jaseux se démarquera une fois de plus l’hiver prochain en demeurant ouvert, une première dans son histoire. Désormais, il sera notamment possible d’y faire du patin, du vélo à pneus surdimensionnés et de la tyrolienne, avant de passer une nuit dans l’un des hébergements quatre saisons. «Cela nous permettra de stabiliser des emplois annuels et de transformer des postes saisonniers en temps plein », se réjouit Rébecca Tremblay. Et pour la suite ? «Pas d’inquiétudes : une liste pleine d’idées de développement dort dans nos tiroirs!» 

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