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  • Frédéric Baillargeon et Jean-Nicolas Légaré

    Parachutisme Adrénaline

    Parcours au Défi OSEntreprendre
    • Lauréat régional Réussite inc., 2017

    • Lauréat local, 2005

    • Services
    • Laurentides

    Si tu ne peux pas les louer, achète-les!

    200 km/h

    Vitesse moyenne atteinte lors d’un saut en parachute. À cette vitesse, il est possible de couvrir la distance entre Montréal et Québec en un peu plus d’une heure!

    Sans avion, un parachutiste ne peut pas s'élancer de 4000 mètres dans les airs: c’est l’évidence même! Pourtant, nombreuses sont les écoles de parachutisme qui dépendent de compagnies tierces pour la location d’appareils – donc, pour opérer.

    C’est ce constat qui a poussé Frédéric Baillargeon et son associé Jean-Nicolas Lagacé, propriétaires du Groupe Adrénaline, qui regroupe quatre de ces écoles, à investir dans l’achat d’un petit avion de six places dès leurs débuts, en 2004. «Cela a été une excellente décision: nous avions soudainement le plein contrôle sur nos coûts et nos revenus», raconte Frédéric Baillargeon, 39 ans et détenteur de formations en administration, en planification financière et en mathématiques, notamment.

    Depuis, le tandem a continué de développer son entreprise en ce sens. Aujourd’hui, elle comprend des divisions distinctes de location et d’entretien d’aéronefs. En tout, le Groupe Adrénaline emploie une soixantaine de personnes dont une dizaine à temps plein et totalise chaque année environ 40 000 sauts en parachute, même si ces derniers ne comptent que pour 55 % de son chiffre d’affaires annuel de près de cinq millions de dollars. Pas mal pour deux jeunes entrepreneurs de 25 ans qui, à l'époque, ont financé le rachat de l’école de parachutisme pour laquelle ils bossaient comme instructeurs... en installant des piscines!

    «L’entrepreneuriat était une voie inévitable dans mon cas. J’étais incapable de faire entendre mes idées dans les entreprises pour lesquelles je travaillais. Et comme je pensais qu’elles étaient bonnes, je n’avais d’autres choix que de me partir à mon compte», explique l’homme d’affaires qui a découvert le parachutisme à 16 ans, à l’occasion d’un saut en groupe.

    En savoir plus sur l'entreprise-Site web

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