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    Laboratoire PhytoChemia

    Parcours au Défi OSEntreprendre
    • Lauréat régional Réussite inc. 2021

    • Lauréat national Création d'entreprise 2014

    • Services aux entreprises
    • Saguenay–Lac-Saint-Jean

    Un peu de paix d’esprit avec ça?

    500

    Nombre de plantes différentes analysées et répertoriées par Laboratoire PhytoChemia depuis sa création. Cela correspond environ au sixième de toutes les espèces floristiques du Québec.

    Laboratoire PhytoChemia se spécialise dans la standardisation et le contrôle de la qualité chimique de produits médicinaux, cosmétiques et alimentaires contenant des ingrédients végétaux, peut-on lire sur son site Web. Dans les faits, ce laboratoire indépendant basé à Chicoutimi au Saguenay–Lac-Saint-Jean vend avant tout de la transparence.

    «Notre clientèle est en grande partie composée de distributeurs d’huiles essentielles qui cherchent à en valider la qualité. On fait appel à nos services pour confirmer qu’elles tiennent bien leurs promesses», explique Laurie Caron, cofondatrice de Laboratoire PhytoChemia. L’enjeu est de taille; chaque année, certaines s’avèrent être des contrefaçons. «On peut par exemple déceler des molécules synthétiques dans de prétendues huiles de lavande», illustre-t-elle.

    En activité depuis 2013, Laboratoire PhytoChemia s’est rapidement taillé une place de meneur mondial dans le domaine du contrôle de la qualité des huiles essentielles, mais aussi du cannabis et du chanvre industriel. En cause : un service à la clientèle hors pair. «Nous prenons le temps d’expliquer nos résultats, de bien les mettre en contexte. Nous sommes reconnus pour notre accompagnement à la fois très professionnel et humain», affirme Laurie Caron.

    Dans les prochaines années, Laboratoire PhytoChemia compte continuer à chouchouter ses 18 employés, elle qui bénéficie déjà de plusieurs avantages sociaux. «Sans eux, notre entreprise n'existerait pas. Nous évaluons la possibilité d’offrir un horaire de travail de quatre jours par semaine au lieu de cinq», conclut la femme d’affaires.

     

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